Sans Titre tellement c’est mauvais.

Dans les yeux, ce mélange d’affection et de détresse.
Dans le coeur, un vide emprunt de tristesse
Dans le sourire, toute la joie d’un mensonge
Sur les lèvres, les traces d’un dernier songe
Dans l’âme, des secrets profondément enfouis
Dans sa tête, les possibilités de lendemain bénnits.
Et moi je reste là, à l’admirer sur le péron
Seulement capable d’avoir l’air con
Seul dans une dimension péniblement lointaine,
D’où je ne peux lui donner ni amour ni haine.

Je ferai mieu la prochaine fois…

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