Philos au fond

La philosophie, j’en lis rarement. Jamais pour etre exact. Peut-être parce que je croyais, et d’une ceraine manière, je crois encore, tout savoir. J’ai tenté quand même il y a quelques temps Nietzsche, parce que il semble trés reférentiel, « Ainsi parlait Zarathoustra » ca sonne Kubrick, et que il faut le dire aussi ca fait bien de dire j’ai LU Nietzsche. Je me suis arreté de lire un peu avant la moitié du livre. Nietzsche est intéressant, trés. Mais crypté. La forme est lourde, et assez indigeste de mon point de vue, je ne doute pas que les étudiants entrainnés et/ou passionnés absorbent facilement cette littérature. Pas moi. Je trouve illogique que quelque chose qui est cencé nous éclairer, nous apporter
une certaine lucidité, la sagesse tout bêtement, soit si peu clair. Fin du chapitre.
Puis arrive comme à son habitude L … en passant. Quelques mots, une référence. Je lis les mots, oublie la référence. Puis par hasard je retombe dessus et là je tique. Ca me donne envie. Un petit tour sur Amazon, 1€90 et 3 jours plus tard dans la boite aux lettres : « Le bonheur, désespérément » de André Comte-Sponville.
Je ne connais ni le livre ni l’auteur. C’est la retranscription écrite d’une conférence sur… le bonheur. Une soixantaine de pages, je suis loin du pavet de Nietzsche. Une conférence orale donc un langage forcément plus clair que des traduction, bref j’adhère. Je le dévore et j’aime ce qu’il dit. Bien
sur, je retrouve les peits travers de la philosophie qui me font toujours un peu sourire, repetition encore et encore, paraphrases rédibitoire comme pour enfoncer le clou de sa pensé. Dire 3 ou 5 fois la même chose de manière différente pour aider à assimiler ce qu’on a compris(oui en plus je comprend tout !) au premier coup, mmultiplication des références et citations pour appuyer démarrer, avoir matière. Je conseille donc (ifolire public ifolire !) pour meme pas 2 euros sans bouger de chez soit ca vaut le coup, à mon (trés) humble avis je vais le relire…

Merci à toi…

1 commentaire

  1. Contente d’avoir pu t’offrir quelque chose Détrompe toi, le livre est loin d’être fini. C’est dans ta tête que ça doit se poursuivre, telle est la philosophie. Goûter à chaque fruit, choisir ceux que l’on chérit, n’en obtenir que les plus mûrs, et en faire sa propre confiture.
    PS : Ainsi parlait Zatanagnagna (jamais su l’écrire sans me tromper) est assez difficile à lire, la forme poétique n’est pas des plus aisées.
    Mais je t’assure, Nietzsche sait être très digeste dans d’autres écrits

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