Tryo – Serres-moi


Embrasses-moi dessus bord
Viens mon ange retracer le ciel
J’irai crucifier ton corps
Pourrais-je, dépunaiser tes ailes?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire, oh tout, pour te voir partir
Et viens! Emmènes moi là-bas
Donne moi la main que je ne la prennes pas
Ecorche mes ailes envoles moi
Et laisses toi tranquille à la fois
Mille fois entrelassons nous, hélassons nous même en dessous
Serre-moi encore serre-moi, jusqu’à étouffer de toi…

Refrain:
Il y’a des salauds qui pillent le coeur des femmes
Et les femmes qui n’savent plus trop d’où l’amour tire son charme
Papillons de fleur en fleur d’amour en amour de coeur
Ceux qui n’ont qu’une étoile ou ceux qui brûlent leur voile

J’aime tes larmes quand tu aimes ta sueur, le sang, rendons nous amants
Qui se passione, qui se saigne?
J’aime quand mon ecorchée est vivant
Je ne donne pas long feu à nos tragédies, à nos adieux
Reviens moi, reviens moi
Tu partiras mieux comme ça
A force de se tordre, on en finirait par se mordre
A quoi bon se reconstruire, quand on est adepte du pire
Malgré nous malgré nous à quoi bon se sentir plus grand, que nous
Deux grains de folie dans le vent, deux âmes brulantes, deux enfants

Refrain:
Il y’a des salauds qui pillent le coeur des femmes
Et les femmes qui n’savent plus trop d’où l’amour tire son charme
Des papillons de fleur en fleur d’amour en amour de coeur
Ceux qui n’ont qu’une étoile ou ceux qui brûlent leur voile

Embrasses-moi dessus bord
Viens mon ange retracer le ciel
J’irai crucifier ton corps
Pourrais-je dépunaiser tes ailes?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire, pour te voir partir
Viens! Emmènes-moi là-bas, donne-moi la main que je ne la prennes pas
Ecorche mes ailes envoles-moi
Et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelassons nous, hélassons nous même en dessous
Serre-moi encore, serre-moi jusqu’à étouffer de toi…
Serre-moi encore, serre-moi jusqu’à étouffer de toi…
Serre-moi encore serre moi…

3 commentaires

  1. Arretes de te cacher derriere des copier/coller de chanson ou poemes, c’est trop facile. Dis lui, ce que tu penses, ce que tu resents, avec TES mots, tu as la plume qu’il faut pour le faire. La vie est trop courte pour tourner sans arret autour du pot. Exuces moi d’être aussi direct, les effets de l’alcool, sans doute …

  2. Les poemes sont tous de moi, pas de c/c pour eux. Et si je met des chanson c’est parce que je les trouve belles ou appropriées. Mais ne doute pas qu’elle a déjà entendu les mots de ma bouche.

  3. « Mais ne doute pas qu’elle a déjà entendu les mots de ma bouche » : j’espère bien. Le temps file beaucoups plus vite qu’on peux le croire. Et çà me ferai mal au coeur de te voir faire les même conneries que moi.

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